Nous avons, certes, beaucoup à apprendre des Français en ce qui concerne la mise en valeur et le soin des biens culturels.
Il suffit de songer aux Châteaux de la Loire, généralement plongés dans des parcs qui sont souvent de véritables jardins botaniques parfaitement restaurés. Plus de 300 châteaux, avec leurs puissantes murailles, leurs ponts-levis et leurs toits d'ardoise luisante semblent des perles enchâssées dans la verdure de la vallée où le fleuve glisse parfois doucement, parfois impétueusement, mais toujours avec un grand effet scénographique.
Le Château de Rivau, par exemple, est un véritable joyau. D'un point de vue littéraire, il faut rappeler que Rabelais ? le poète de la Renaissance française ? raconte que Gargantua l'offrit au capitaine Tolmère. Du point de vue historique, en revanche, Jeanne d'Arc vint à Rivau en 1429 pour y chercher les plus beaux chevaux du roi de France.
Aujourd'hui encore, on peut y visiter les monumentales écuries fortifiées, uniques en France, connues dès la Renaissance pour la qualité de leurs chevaux. Elles furent construites par François de Beauvau, propriétaire du château et palefrenier de la couronne de France sous le règne de François Ier de Valois.
Mais l'on se rend à Rivau surtout pour y visiter les douze jardins, classés « Jardins Remarquables », c'est-à-dire sélectionnés par le Ministère de la Culture parmi les plus beaux jardins de France, non seulement pour les plantes rares et les centaines de différentes espèces de roses, mais aussi pour la collection permanente d'art contemporain présentée entre ses plates-bandes.
Entreprise en 1992, la restauration du château a permis au complexe monumental du château, aux écuries royales et aux jardins de retrouver le faste d'antan.
Aujourd'hui, Rivau est un monument national qui attire des visiteurs venus du monde entier.
Pour ouvrir les portes aux visiteurs, il y avait jadis les serviteurs et les maîtres de cérémonie. En revanche, aujourd'hui, dans le plus grand respect du cadre historique, les portes en bois brut et massif s'ouvrent automatiquement grâce à la technologie DITEC.
Ce sont les automatismes DITEC Valor qui ouvrent et referment parfaitement les entrées franchies par le public. Il faut remarquer que les automatismes ont été cachés par une couverture en bois, car le fait de voir trop d'appareils technologiques aurait été inadéquat dans un tel cadre historique.
Il suffit de songer aux Châteaux de la Loire, généralement plongés dans des parcs qui sont souvent de véritables jardins botaniques parfaitement restaurés. Plus de 300 châteaux, avec leurs puissantes murailles, leurs ponts-levis et leurs toits d'ardoise luisante semblent des perles enchâssées dans la verdure de la vallée où le fleuve glisse parfois doucement, parfois impétueusement, mais toujours avec un grand effet scénographique.
Le Château de Rivau, par exemple, est un véritable joyau. D'un point de vue littéraire, il faut rappeler que Rabelais ? le poète de la Renaissance française ? raconte que Gargantua l'offrit au capitaine Tolmère. Du point de vue historique, en revanche, Jeanne d'Arc vint à Rivau en 1429 pour y chercher les plus beaux chevaux du roi de France.
Aujourd'hui encore, on peut y visiter les monumentales écuries fortifiées, uniques en France, connues dès la Renaissance pour la qualité de leurs chevaux. Elles furent construites par François de Beauvau, propriétaire du château et palefrenier de la couronne de France sous le règne de François Ier de Valois.
Mais l'on se rend à Rivau surtout pour y visiter les douze jardins, classés « Jardins Remarquables », c'est-à-dire sélectionnés par le Ministère de la Culture parmi les plus beaux jardins de France, non seulement pour les plantes rares et les centaines de différentes espèces de roses, mais aussi pour la collection permanente d'art contemporain présentée entre ses plates-bandes.
Entreprise en 1992, la restauration du château a permis au complexe monumental du château, aux écuries royales et aux jardins de retrouver le faste d'antan.
Aujourd'hui, Rivau est un monument national qui attire des visiteurs venus du monde entier.
Pour ouvrir les portes aux visiteurs, il y avait jadis les serviteurs et les maîtres de cérémonie. En revanche, aujourd'hui, dans le plus grand respect du cadre historique, les portes en bois brut et massif s'ouvrent automatiquement grâce à la technologie DITEC.
Ce sont les automatismes DITEC Valor qui ouvrent et referment parfaitement les entrées franchies par le public. Il faut remarquer que les automatismes ont été cachés par une couverture en bois, car le fait de voir trop d'appareils technologiques aurait été inadéquat dans un tel cadre historique.